Fora ’20 ! Quinta festa di u teatru di e lingue

Fora ’20 ! Quinta festa di u teatru di e lingue

A FESTA DI LINGUA 2020 – Collectivité Territorial de Corse / Direzzione di a lingua – Du  14 juin au 17 aout 2019

Quinta stonda ! Cinquième édition – 28 sittembre|septembre / 8 dicembre|décembre 2020
Prisentata da | Présenté par TeatrEuropa di Corsica
Direzzione | Direction Orlando Forioso

En raison de la Covi 19 le programme suivant a eu une série de variations et a été limité dans son déroulement.

La force du théâtre réside, depuis toujours, dans la simulation d’évènements quotidiens, mais fantastiques dans leur dimension aussi bien ludique que didactique. La langue ou les langues, sont les medias primaires qui permettent de mêler signes et raison, cœur et mémoire. Depuis le premier jour de leur création, certaines compagnies ou centres culturels de l’île, ont inscrit le concept de “théâtre en langue corse” ou de “théâtre plurilingue” dans leur projet. L’expérience de ces dernières années nous a donné beaucoup d’indications aussi bien sur la poursuite de nos activités que sur ce qu’il y a à réaliser. C’est ainsi que naît en 2015 l’idée d’une fête, d’un festival de théâtre des langues, dont le pivot est le théâtre en langue corse, seul ou en partenariat avec d’autres langues régionales ou nationales.

L’objectif de FORA 2020 – cinquième édition – est de porter la langue à travers le media que constituent le théâtre et ses protagonistes. C’est ainsi que TeatrEuropa, dans le cadre di A FESTA DI A LINGUA, ira au-devant du public avec une série de spectacles qui seront présentés dans des lieux de la vie quotidienne (écoles, bibliothèques, salles polyvalentes, places, jardins, commerces, théâtres…. Cette année, à cause du Coronavirus-Covid 19, A FESTA DI A LINGUA ne se tiendra pas fin printemps/été, mais vient d’être déplacée vers l’automne/hiver 2020. Donc, le titre de notre festivale di u teatru di e Lingue reste FORA 2020 !, mais évidemment beaucoup d’actions ne seront pas Fora mais Dentru ! Cette action répond au besoin de créer un véritable festival de théâtre off de dimension régionale, entièrement centré sur la langue corse, seule ou confrontée à d’autres langues.

Spectacles présentés au public:

16 octobre 2020 – 14h / Folelli – Médiathèque Territorial de Castagniccia

LES BONAPARTE ?! CHI FAMIGLIA !

Spectacle interactive historicomique

Avec: Marie-Paule Franceschetti Henri Olmeta ou Orlando Forioso

Production : TeatrEuropa

Un spectacle pour tout public,avec une participation direct des enfants au cote des acteurs. C’est une version ludique et historique pour raconter les Bonaparte à tous. Un spectacle qui enthousiasme grands et petits.  Dans le Musée de Napoléon, la statue de sa mère Letizia s’anime. Elle est en train de préparer à manger pour toute la famille, mais un journaliste anglais débarque pour réaliser un reportage sur une famille « normale » d’Ajaccio. Letizia présente toute sa famille, mais en réalité à table il n’y a personne…A la place des membres de la famille, il ne trouve que des maillots de foot, avec un numéro dans le dos. C’est leur date de naissance. Que faire pour aider la vieille dame ?  Le journaliste demande au public de prendre place à table, de revêtir les maillots et donc devenir les personnages. Sésame, ouvre-toi… à suivre ! Un spectacle historicomique !

Samedi 24 octobre – 18h00 | Sabbatu 24 ottobre – Sei ore di sera

BONIFACIO | BUNIFAZIUESPACE SAINT JACQUES | U SPAZIU SAN GHJACUMU

En collaboration avec la Mairie de Bonifacio – Centre Culturel Bonifacio


SCEMI IN FESTA ! 

Pinsendu à  Dario Fo è à u so Mistero Buffo 

Traduction des textes de Dario Fo | Traduzione di i testi di Dario Fo : Henri Olmeta 

Une création ! Una creazione d’Orlando Forioso 

Avec | In scena : Marie-Paule Franceschetti, Henri Olmeta, Orlando Forioso

Costumes | Custumi: Costumeria Capricci di Livorno 

Photos : Philippe Meriot

Mise en scène | Regia : Orlando Forioso 

Production | Produzione: TeatrEuropa di Corsica

Dario Fo, teatrinu, scrittore, regista è premiu Nobel di Literatura ’97, hà passatu anni è anni à studià u teatru medievale. U fruttu di stu travaglione hè statu u spitaculu  MISTERO BUFFO. Oghje a cumpagnia TeatrEuropa ripiglia in manu i testi di issu spitaculu è ne face un novu sughjettu di travagliu, in leia cù a lingua corsa. Henri Olmeta, teatrinu di prima trinca, ne hà prupostu una traduzione in corsu, è fatta fine hè natu SCEMI IN FESTA ! In sti tempi di coronavirus, dui artisti di una cumpagniaccia di teatru chì si danu solu a spitaculi religiosi ùn ci la facenu più, è cascanu malati. Li truvemu in Castellucciu, di pettu à u Duttore. Li tocca à fà un spitaculu pè e feste di Natale è i dui venenu chjamati à impegnassi. Diu santu binadettu !!! Nascenu vere « performance » à a moda di Dario Fo : donne scimite pè u massacru di i nucenti; a resurrezione di Lazzaru cù tuttu u mondu chì paga u bigliettu pè assisteci; Maria, chì face e spese cù e so amiche, è chì s’avvede solu à a fine chì u so figliolu u stanu mittendu in croce; u miraculu di u vinu à Cana, tutti zuffi….In sti tempi di coronavirus duie risate , è ancu di più, ùn ponu fà male!  

Dario Fo, homme de théâtre, écrivain, metteur en scène et prix Nobel de littérature 1997, s’est plongé des années durant dans l’étude du théâtre médiéval. Le fruit de ses longues recherches s’intitule MISTERO BUFFO. La Compagnie TeatrEuropa a voulu se réapproprier les textes de ce spectacle et en faire le sujet contemporain d’une nouvelle création, en lien avec la langue corse. Henri Olmeta, comédien qu’on ne présente plus, en a proposé une version corse et c’est dans ce contexte qu’est né SCEMI IN FESTA ! En ces temps de coronavirus, deux artistes d’une médiocre compagnie de théâtre qui se consacrent exclusivement aux spectacles religieux, au bout du rouleau, tombent malades. Nous les retrouvons à Castellucciu, face à leur médecin. Il leur revient la tâche de préparer un spectacle pour les fêtes de Noël dans lequel ils sont amenés à s’investir. Doux Jésus !!! De là, naissent de véritables « performances » à la sauce Dario Fo : femmes rendues folles par le massacre des Saints Innocents, résurrection de Lazare à laquelle tout le monde assiste après avoir payé son billet; Marie, qui après une séance de shopping entre amies, finit par s’apercevoir que son fils est sur le point d’être crucifié ; le miracle du vin à Cana et tous les invités de la noce ivres….  En ces temps de coronavirus, deux éclats de rires, voire davantage, ne peuvent faire de mal à personne !     

Dimanche 25 octobre – 18h00 | Dumenica 25 ottobre – Sei ore di sera

VILLE DE PETRABUGNO | E VILLE DI PIETRABUGNO

ESPACE SOUS LA MAIRIE | U SPAZIU SOTTU A MERIA

En collaboration avec la Mairie de Ville de Pietrabugno et la Commission Culture


DIGENIS AKRITAS

Racontu di i raconti.

Quandu l’occidente scontra l’oriente.

Avec | In scena : Patrizia Gattaceca, Antoine Leonelli chitarra|guitare 

U Digenis Akritas hè un’eppupea ch’omu situeghja à principiu di u dodicesimu seculu inde l’Imperu bizantinu. Sicondu certi ipotesi, adunisce unipochi di canti detti « acritichi » anteriori à stu periudu è ancu forse di u principiu di l’ondicesimu seculu. Tandu ùn eranu i Turchi i nemichi di i Bizantini nant’à e fruntiere urientale, cum’è à parte si di l’anni 1050, ma eranu piutostu l’Arabi chì s’eranu impittati cù Custantinopuli dipoi seculi è seculi. Stu puema, ghjucatu è cantatu in lingua corsa, ci conta u parcorsu di un’eroe inde i cunfini urientali di l’Imperu, in limita cù u mondu arabu, nant’à e sponde di l’Eufrate. Basile Akritas, prutagunista di u Digenis Akritas è umatale, hè u custodiu di sti cunfini sin’à e limite urientale di u mondu cristianu. Saria forse isciutu da una nobula bizantina è da un emiru sirianu. Cumbatte l’animali feroci, i mostri tremendi o fantàstichi, l’Amazone … Stumacutu cum’è Roland, amurosu cum’è Erec, di e volte lighjeru cum’è Gavinu, Digenis Akritas scummove sempre inde a mimoria di i Grechi u sensu di a so identità.  

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Le Digénis Akritas est un poème épique que l’on situe au début du XIIe siècle au sein de l’Empire Byzantin. Selon certaines thèses, il réunit des chants dits « acritiques » antérieurs à cette période et datant peut-être du début du XIe siècle, les ennemis des Byzantins sur les frontières orientales n’étant pas les Turcs, comme c’est le cas depuis les années 1050, mais les Arabes, contre lesquels Byzance a lutté pendant des siècles. Ce poème, joué et chanté en langue corse, présente le parcours d’un héros aux confins orientaux de l’Empire, à la frontière du monde arabe, sur les rivages de l’Euphrate. Basile Akritas , personnage principal du Digénis Akritas, homme de stature imposante est le gardien des frontières aux limites orientales du monde chrétien. Il serait issu d’une noble byzantine et d’un émir de Syrie. Il lutte contre les animaux féroces, les créatures fantastiques, les amazones…Intrépide comme Roland, amoureux comme Erec, parfois léger comme Gauvain, Digénis Akritas continue à émouvoir dans la mémoire des Grecs le sens de leur identité.

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Spectacle enregistré et rendu public à tous sur internet :

A FESTA DI A LINGUA 2020 Direzzione di a Lingua di a Cullettività di Corsica
TeatrEuropa
FORA ‘20 !

DIGENIS AKRITAS

Racontu di i raconti. Quandu l’occidente scontra l’oriente.

Dodici stonde in video di l’epupea in musica è in teatru cù prisentazioni ironiche | Douze épisodes en vidéo de l’épopée en musique et des scènes de présentation ironiques

  1. Le lodi : Patrizia Gattaceca – Musica | Paolo Odorico – Testu
  2. L’Emiru : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  3. E prudezze di l’Akrita : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  4. Il desiderio : Patrizia Gattaceca – Musica | Paolo Odorico – Testu  
  5. U lamentu di a mamma : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  6. L’amore : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  7. L’accunsentu : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  8. Le nozze : Patrizia Gattaceca – Musica | Paolo Odorico – Testu
  9. U giardinu : Patrizia Gattaceca – Musica |   Paolo Odorico è Patrizia Gattaceca – Testu
  10. U castellu : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  11. A morte di l’Akrita : Patrizia Gattaceca – Testu è Musica
  12. Che io muoia : Patrizia Gattaceca – Musica | Paolo Odorico è Patrizia Gattaceca -Testu

Patrizia Gattaceca – Cantu

Antoine Leonelli – Chitarra è assestu musicale

Orlando Forioso – Messa in scena

Franco Bonetti – Pitture

Thomas Giovannetti – Realisazione

Vincent Grisoni – Sonu

Pierre-François Cimino – Lume

TeatrEuropa – Produzzione

Pastaprod – Mezi tecnichi

Un ringraziu particulare à Anaïs Tapiero è Manon Thébault

Eccu, emu compiu u Digenis Akrita propriu l’8 dicembre, Festa di a Nazione …evviva! Eccu i screenshotti di i magnifichi, originali e sensuali canti di Patrizia Gattaceca, cù i mediterranei è raffinati soni di Antoine-Marie Leonelli è e muderne pitture di Franco Bonetti (pè sempre inde u core) … Una storia bizantina, cù versi corsi è taliani scritti da dui prufessori , una corsa è unu taliano (Paolo Odorico), pè reagisce è tene u capu rittu in st’epica di a covidda (chì ci ha fattu veramente cagà!). A Festa di a Lingua #afestadialingua 2020 (à ringrazià a Cullettività di Corsica #cullettivitadicorsica è a Direzzione di a Lingua ) ha pigliatu forme nove, cume dicia u pueta :  » Dobbiamo fare di ogni disfatta una vittoria ». Stu travaglione di TeatrEuropa di Corsica, fattu cù amore è impastatu cù a pacienza è a bona pratica di , hè pè voi Pastaprod . Scialatevi !ps. I prufessori di corsu ponnu: o travaglià cù i sculari nantu à i versi di Patrizia o nantu à i sbagli di Orlando! Fate voi . Ma… chì si sbaglia, inventa !

U Digenis Akritas hè un’eppupea ch’omu situeghja à principiu di u dodicesimu seculu inde l’Imperu bizantinu. Sicondu certi ipotesi, adunisce unipochi di canti detti « acritichi » anteriori à stu periudu è ancu forse di u principiu di l’ondicesimu seculu. Tandu ùn eranu i Turchi i nemichi di i Bizantini nant’à e fruntiere urientale, cum’è à parte si di l’anni 1050, ma eranu piutostu l’Arabi chì s’eranu impittati cù Custantinopuli dipoi seculi è seculi.  

Stu puema, ghjucatu è cantatu in lingua corsa, ci conta u parcorsu di un’eroe inde i cunfini urientali di l’Imperu, in limita cù u mondu arabu, nant’à e sponde di l’Eufrate. Basile Akritas, prutagunista di u Digenis Akritas è umatale, hè u custodiu di sti cunfini sin’à e limite urientale di u mondu cristianu. Saria forse isciutu da una nobula bizantina è da un emiru sirianu. Cumbatte l’animali feroci, i mostri tremendi o fantàstichi, l’Amazone … Stumacutu cum’è Roland, amurosu cum’è Erec, di e volte lighjeru cum’è Gavinu, Digenis Akritas scummove sempre inde a mimoria di i Grechi u sensu di a so identità.  

Le Digénis Akritas est un poème épique que l’on situe au début du XIIe siècle au sein de l’Empire Byzantin. Selon certaines thèses, il réunit des chants dits « acritiques » antérieurs à cette période et datant peut-être du début du XIe siècle, les ennemis des Byzantins sur les frontières orientales n’étant pas les turcs, comme c’est le cas depuis les années 1050, mais les arabes, contre lesquels Byzance a lutté pendant des siècles.

Ce poème présente le parcours d’un héros aux confins orientaux de l’Empire, à la frontière du monde arabe, sur les rivages de l’Euphrate. Basile Akritas, personnage principal du Digénis Akritas, homme de stature imposante est le gardien des frontières aux limites orientales du monde chrétien. Il serait issu d’une noble byzantine et d’un émir de Syrie. Il lutte contre les animaux féroces, les créatures fantastiques, les amazones…Intrépide comme Roland, amoureux comme Erec, parfois léger comme Gauvain, Digénis Akritas continue à émouvoir dans la mémoire des grecs le sens de leur identité.

Plusieurs traductions sont aujourd’hui à notre disposition.
Pour ce projet d’adaptation, de mise en musique et d’interprétation du Digénis, je me suis inspirées de la version italienne traduite du Grec par le Professeur Paolo Odorico. Certains textes sont interprétés en italien.

Le Récit :

Le poème se divise en deux parties principales.

La première partie raconte le mariage des parents du héros, qui sont un émir musulman converti au christianisme et une noble demoiselle rattachée d’une manière ou d’une autre (les versions varient) à la maison des Doukas, qu’il a enlevée à sa famille lors d’une expédition de pillage. Vaincu par les frères de la belle, l’émir se convertit par amour pour sa captive et transplante toute sa parenté en pays byzantin. Le héros, dont le prénom est Basile, est donc issu de deux races différentes (il est digénis). Selon certains historiens, le grand-père musulman de Digénis serait modelé sur le personnage historique Chrysocheir le dernier chef des pauliciens.

La seconde partie (la plus longue, bien plus romancée) raconte les aventures du héros. À son tour il enlève (cette fois-ci par un rapt romantique) la fille d’un stratège et mène une vie de libre apélatès (brigand), multipliant les aventures guerrières et amoureuses. L’ensemble est censé se dérouler sur les frontières (akrai : le héros est un akrite) orientales de l’empire, que le héros libère des monstres (dragons, lions, etc.) et des malfaiteurs (chrétiens ou non) qui infestent la région. Le sommet du récit, est la rencontre entre Digénis et l’empereur Basile (il s’agit de Basile II, devenu une figure de légende), à qui il donne des conseils de bon gouvernement : « aimer l’obéissance, avoir pitié des pauvres, délivrer les opprimés de l’injustice qui les accable, pardonner les fautes involontaires, ne pas prêter l’oreille aux calomnies, refuser l’injustice, chasser les hérétiques, favoriser les orthodoxes ».L’empereur lui donne alors par chrysobulle une pleine et entière autorité sur les frontières, et Digénis s’installe avec son épouse dans un splendide palais sur l’Euphrate.
Invaincu de main d’homme, le héros meurt de maladie, son épouse aimante le suivra dans la mort.

Spectacles uniquement en répétition:

BELLA CIAO Quandu a Corsica r-esiste – XXème siècle : La Corse en mouvement

Spectacle documentaire d’Orlando Forioso entre chants, théâtre et histoire.

Avec : Patrizia Gattaceca, Lydia Poli, Patrizia Poli

Mise en scène : Orlando Forioso

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DONNE IN TEMPESTA !

Cumu ride di i malanni oghjnchi.

Avec : Marie-Paule Franceschetti et MAryline Leonetti

Mise en scène : Orlando Forioso

Une production TeatrEuropa de Corse

Deux femmes au bord de la crise de nerfs dialoguent. Les sujets sont graves (violence sur les femmes, maladies mortelles, incompréhensions dans les rapports homme/femme, rapport aux nouvelles technologies…), mais la manière de les aborder est comique et surréaliste. Les deux femmes se retrouvent à plusieurs occasions, pendant qu’elles font le ménage. Entre repassage et balayage, cuisine et époussetage, on découvre deux caractères bien trempés et différents l’un de l’autre. Elles représentent deux archétypes de femmes de la vie quotidienne.

A DUMANDA

Pièces courtes d’Anton Tchekhov

Traduites en langue corse par les ateliers de traduction d’U Svegliu Calvese,

sous la direction d’André Markowicz.

Avec :

Henri Olmeta, François Berlinghi, Marie-Paule Franceschetti.

Mise en scène : Orlando Forioso

Production : U Svegliu Calvese

En 2015, U Svegliu Calvese avait créé un atelier de traduction dirigé par André Markowicz, pour traduire en langue corse certaines pièces courtes de Tchekhov. Ce fut un atelier très joyeux, très vivant et très dense qui a permis d’entrer dans l’esprit d’une langue, de son époque et de son rythme, grâce à la pédagogie et à la générosité du traducteur, qui a permis d’entrevoir les arcanes, la richesse et la beauté de la langue de Tchekhov en version corse. Aujourd’hui ces textes deviennent un spectacle. Et quel spectacle ! On rit encore des mésaventures de Natalia et de son prétendant, Ivan…. 

Photo Philippe Meriot

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